2° Chapitre
De 1898 à 1952 |
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2° Section 1815 - 1884 3° Section 1869 - 1878
1898 à 1952
1° Section 1898 - 1916 2° Section 1917 - 1920 3° Section 1921 - 1948 4° Section 1949 - 1952
1953 à nos jours
1° Section 1953 - 1958 2° Section 1959 - 1970 3° Section 1971 - 1980 4° Section 1981 - 1996 5° Section 1997 - 2010
Annexe
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2° Chapitre
De 1898 à 1952
3° Section Période de 1921 à 1948
1921
7 janvier 1921
Mon père est de retour de permission à Dijon
2 avril 1921
Mariage avec Marie Claudine Demias. Il est employé de commerce
1922
1923 1 septembre 1923
Certificat de travail de la société coopérative "La Ruche Ouvrière" a Vittel en date du 16 septembre 1927. Il est dit que Mr Laurent Hugues a été gérant de la coopérative "La Ruche Ouvrière" du 1 septembre 1923 au 15 mai 1927.
Les raison de l'arrêt de cet emploie est indiqué : Pour raison de santé de son épouse.
(Pochette Archives N°16)
Photographie de mon père conduisant son camion de « La Ruche Ouvrière » Date inconnu mais probablement entre septembre 1923 et mai 1927
(Pochette photos 000_13.tif)
(Pochette photos 009_02.tif)
1924 19 février 1924
Lettre du conseil d'administration de la société coopérative "La Ruche Ouvrière" de Vittel à mon père en confirmation du renouvellement de son contrat en qualité de gérant de la coopérative de Vittel du 19 février 1924 au 31 décembre 1924.
(Pochette Archives N°14)
1925
4 janvier 1925
Mon père est toujours gérant de la coopérative "La Ruche Ouvrière" de Vittel.
(Pochette photos)
lundi 8 juin 1925 Maman fait sa Confirmation à Besançon
Le 20 décembre 1925 à Vittel naissance de son deuxième enfant Pierre Laurent.
Cette photographie date du printemps 1926, Pierre a 6 mois. Mon grand-père Isidore Laurent et ma grand-mère Julienne a St Dié devant leur maison avec Geneviève Laurent
(Pochette photos 007_06.tif)
1926 12 février 1926
(Pochette Archives N°15)
1927 25 mars 1927
Mais il démissionne le 15 mai 1927 de son poste pour raison de santé de Maria Demias, son épouse (arrêt au 15 mai 1927). Sa femme en effet est très malade et le restera jusqu'à son décès le 12 juin 1948. 25 mai 1927 adresse Sampigny canton de Peyrefitte sur Aize, Bar le Duc, d’après son carnet militaire
(Pochette Archives N°16-1)
1928
3 juin 1928
11 juin 1928
1929
Il habite au 29 rue Charles Dumont à Dijon ![]() Il est gérant du « Comptoir de la Bourgogne » à Dijon Il est avec sa première femme Maria Demias « Noré à Dijon 1929 dans son magasin »
En 1999 l’ancien « Comptoirs de la Bourgogne » est devenu un salon de coiffure
1930
22 octobre 1930 Maman, Marie Louise Collot dépose 112 f sur son carnet de caisse d’épargne de Besançon 15 rue président Wilson à Besançon
1931 10 avril 1931
(Pochette Archives N°19)
9 mai 1931 adresse à Nuit Saint Georges 22 rues de chaux d’après son carnet militaire
11 mai 1931 IL entre à la « Maison Georges Aimé » a Dijon.
10 juillet 1931 Maman, Marie Louise Collot retrait du solde à Besançon
21 août 1931
Il habite 22 rues de chaux à Nuit St Georges
(Pochette Archives N°19-1)
Lettre de mon père à ses parents, qu’il vient de visiter. Ils habitent 8, rue de la Ménantille à St Dié. « Chers tous. Quittés depuis hier au soir à minuit, nous avons rodés tout Dijon aujourd’hui. Nous quittons Dijon demain à midi pour notre nouveau domicile Nuit Saint Georges. Nous sommes heureux de nous reposé un peu. Nous vous écrirons par la suite et tout va bien. Bon baisers »
1932
16 mai 1932 Il habite au 7, rue Nicolas Frachot d’après son carnet militaire
1933
1 janvier 1933 et jusqu'en 1944 Mon père habite à Dijon 1 rue du Faubourg Raines dans la « Maison Georges Aimé ». Il a 34 ans
lundi 6 mars 1933 Décès de Célestine Meny à St Dié
1 avril 1933
(Pochette Archives N°20)
« Maison George Aimé » a Dijon en 1941
Journal Le Bien Public du 4 décembre 1974
10 mai 1933
« 10 5 1933
Cher Parents En tournée à Biarritz je pense à vous. Je vais ensuite filer sur Bordeaux et dimanche à Lourdes. Je penserai à vous. La santé est bonne le temps superbe. Je vous embrasse bien fort ainsi que Nadette Votre fils »
23 aout 1933
« Cher Parents
Mercredi 23 aout 1933 Nous sommes bien arrivés à Belfort le soir à 19 h et avons eu un temps assez beau malgré quelques averses. Nous n’avons remonté personnes de la Bresse. Aujourd’hui il fait ici un temps de chien ce qui nous oblige à rester à la maison. Nous sommes heureux des quelques jours passés ensemble et de vous avoir vu en aussi bonne santé. Merci encore une fois de tout ce dérangement. Nous vous enverrons les photos aussitôt faites. Tout le mse porte bien et donne le bonjour et vous embrasse bien fort H Laurent »
1934
Communion de Geneviève Laurent âgée de 11 ans ma demi-sœur à Dijon. Sur la photographie de droite on voit de gauche à droite, Geneviève Laurent, Pierre Laurent âgée de 9 ans, Mon père Séraphin Laurent âgé de 36 ans, sa première femme Maria Demias âgée de 34 ans
De droite a gauche : Pierre Laurent, Maria Demias, Geneviève Laurent, Georges Laurent, Séraphin Laurent (Honoré dit Noré)
1935 10 avril 1935
Mon père le 10 avril 1935 en voyage a Perpignan et Tarbes (il habite à Dijon) écrit une carte postale a ses parents Isidore Laurent et Julienne qui habite à St Die garage Lung 13 rue de Ménantille.
« Mercredi 10 4 1935 Chers parents Toujours plus loin sous le soleil toujours sans nuages et un soleil très chaud. Je vous envoie mes affectueux souvenirs. Demain je prends le chemin du retour Avignon Dijon ou je serai samedi. Je vous embrasse H Laurent »
(Pochette Photos)
21 avril 1935
Baptême de Jacques Laurent « Baptême de Jacques – Neufchâteau 21 – avril -1935 Suzanne et Marie-Thérèse Au jardin »
(Pochette photos 063_01.tif)
1 juin 1935
George Laurent mon oncle et son fils Jacques Laurent Au dos : "Jacques 4 mois Reçu le 1°juin 1935"
(Pochette photos)
19 aout 1935 Naissance de Marie-Thérèse Ridet à Dijon, premier fille de ma mère
12 septembre 1935
(Pochette Photos)
29 décembre 1935
Mon père travaille a la « Maison Georges Aimé » a Dijon il est responsable des représentants de commerce et il voyage beaucoup
(Pochette Archives N°20-1)
1936
31 mars 1936 Contribue à l'assainissement de la dette à court terme a Vittel 50f
9 avril 1936 Mon père reçoit la médaille de la victoire pour la Guerre de 1914 – 1918. Il habite 1 rue du faubourg raines à Dijon
MEDAILLE INTERALLIÉE dite MEDAILLE DE LA VICTOIRE
Il s'agit d'une décoration nationale qui, toutefois, est commune à quinze pays alliés. Crée par la loi du 20 juillet 1922. C'est le même graveur, Morlon, qui fut retenu pour cette médaille, comme pour celle de la commémoration de la grande guerre d'ailleurs
14 Juillet 1936
Au dos : « Jacques 18 mois 14 .7 .36 »
(Pochette photos)
23 septembre 1936
Il est toujours à « Maison Georges Aimé ». Il habite 1 rue du faubourg raines à Dijon
LA CROIX DU COMBATTANT
C'est bien après 1918, par une loi du 19 décembre 1926, après instauration du statut d'ancien combattant que l'idée d'une médaille pour ceux qui, au péril de leur vie ont défendu la patrie a germé. Elle a donc été destinée et portée par tous les mobilisés de la guerre de 1914-1918.
1937 2 mai 1937
1° communion de Pierre Laurent à Dijon
(Pochette photos 002_07.tif)
On distingue sur cette photographie de gauche à droite debout de gauche a droite :
Les enfants debout :
(Pochette photos 035_03.tif)
On distingue sur cette photographie de gauche à droite debout :
(Pochette photos 035_06.tif)
Mon père et sa première femme Maria Demias à la communion de Pierre Laurent Mon père écrit au dos de la photo :
« 2 mai 1937 - Dijon Noré + Maria très amoureux à l'Arquebuse 1° communion de Pierrot »
Noré est le diminutif d’Honoré
Jacques Laurent fils de George Laurent et de Odette Laurent née Lhuillier dans la petite carriole et Marie-Thérèse Haouy fille de Suzanne Laurent et de Gustave Haouy a Dijon le 2 mai 1937
(Pochette photos 002_01.tif)
De gauche a Droite :
![]() Maria Demias a droite 1° femme de mon père et Odette Laurent née Lhuillier femme de Georges Laurent a Dijon
(Pochette photos 035_04.tif)
Mon père en 1937 en visite au pont du Gard
(Pochette photos 036_02.tif)
1939
(Pochette photos 005_05.tif)
Mon père et son beau frère en train de faire les clowns comme d'habitude avec la famille suite a un bon repas bien arrosé. Il simule un accident de voiture. Dans sa voiture a gauche il y a sa femme et sa belle sœur et dans l'autre voiture il y a Bernadette Haouy et sur le marche pied Geneviève Laurent. Je pense que la photographie a été prise par mon oncle Georges Laurent qui aimait beaucoup la photographie et mettait en scène a certaine occasion.
7 mai 1939
25 mai 1939
Il toujours à« Maison Georges Aimé ». Il Habite 1 rue du Faubourg Raines à Dijon MEDAILLE DE VERDUN 21 FEVRIER 1916 On y lit la devise : " ON NE PASSE PAS " "A Tous les Héros connus et Anonymes vivants et morts qui ont triomphé de l'avalanche des barbares et immortalisé son nom à travers le monde et pour les siècles futurs, la ville de Verdun, inviolée et debout sur ses ruines, dédie cette médaille de sa reconnaissance".
1940 11 Janvier 1940 Naissance de Jean-Marie Ridet à Dijon deuxième enfants de ma mère
28 juin 1940 Suite à l'exode mon père part en France libre avec toute la famille à St Chamant La geneviere (Argentat) en Corrèze, .
16 juillet 1940
« Anecdote : de retour à Dijon dans l’appartement rien n’a changé et le périscope de 1914 qu’il avait laissé sur la table n’a pas bougé. Les Allemand n’ont pas visité l’appartement.
C’est avec ce périscope que je regardais Venus et la Lune a l’Aubarréde dans le fond du jardin. Je l’ai démonté et remonté bien souvent. Hélas je l’ai égaré dans mes nombreuses péripéties. »
1941 30 décembre 1941
Mon père travail toujours pour la « Maison Georges Aimé » mais son contrat change pour 1942. Il est sous la responsabilité de Mr Lambert à la réception de la clientèle et responsable du service expédition.
La « Maison Georges Aimé » à Dijon
1943
1944
19 avril 1944
Ma mère, elle va vivre l’horreur en perdant son premier mari Jean-Pierre Ridet, qui après avoir été arrêté par la Gestapo Nazi a été déporte à Stuttgart en Allemagne et décapité. Elle est veuve. Mais elle ne le sait pas encore car les nouvelles sont lentes et elle ne saura ce qui c’est vraiment passé que bien plus tard, lorsque mon père lui fera rencontrer le commandant français qui c’est occupé de suivre l’affaire. Elle aura beaucoup de mal a vivre en cette période car ses revenus son très faible. Elle est obligée de travailler en faisant de la couture et en fabriquant des sacs à main à son compte. Elle élève ses deux enfants avec le mieux qu’elle le peut, mais ses relation avec sa belle mère ne sont pas des plus facile. Elle emmène souvent ses enfants chez elle mais elle se sent très malheureuse.
13 décembre 1944. Mon père habite 1 rue du faubourg raines et travail à la « Maison Georges Aimé » à Dijon
1947
30 juin 1947 Mon père travail à la « Maison Georges Aimé » à Dijon. ![]()
1948
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Histoire de Famille – Dominique Laurent 1990 - 2009 |